On December 26 & 28 1999, the hurricanes Othar and Martin reached and crossed France. generating considerable damages with winds recorded to up to 259 kilometers per hour: 140 million cubic meters of woods were torn apart, involving more than 60 million trees.
On December 28th evening, three exhausted Canadian geese (Branta canadensis) literally fell on one of our Naturetum [http://www.naturetum.com] lakes, l'étang du Haut; initially pushed away by the ducks (Anas platyrhynchos), they got immediate protection from our domestic geese who moved between the aggressive ducks and the three visitors, though not allowing themselves to a close contact.
For more than two weeks, the three Canadian geese stayed, rested, and shared with the other anatidae the foods we are daily distributing; then they left.
For more than two weeks, the three Canadian geese stayed, rested, and shared with the other anatidae the foods we are daily distributing; then they left.
Imagine however our surprise when in the following fall two Canadian geese came back with six already-flying juveniles.
From then, number grows every year The Canadian geese keep flying from one lake to another but hardly miss an evening visit to our largest lake, l'étang de La Fercelle. Splendid flies of more than forty individuals have become a routine.
In a late summer day of 2011 we accounted 96 Canadian geese around the lake étang du Haut!
The hunting of these magnificent birds has just (2012) been authorized in France, When they fly, geese constantly and noisily speak to each other, making it easy to locate them. Let us hope however that environment-conscious hunters will prevent this population from declining too much.
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Branta canadensis
ID-3139 Specimens-6844 and -8709
Naturetum de Sologne La Cloche étang du Haut
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Les 26 et 28 décembre 1999 les deux tempêtes Othar et Martin ont traversé la France causant des dommages considérables avec des vents jusqu’à 259km/h: 140 millions de m3 de bois abattus en France, impliquant plus de 60 million d’arbres.
Le soir du 28 décembre, 3 bernaches du Canada (Branta canadensis) épuisées sont littéralement tombées dans l'un des étangs du Naturetum [http://www.naturetum.com], l’étang du Haut; initialement repoussées par les canards colverts (Anas platyrhynchos), elles ont été immédiatement protégées par nos oies blanches domestiques qui se sont interposées entre les canards agressifs et les trois visiteuses, sans cependant se permettre une proximité immédiate.
Après être restées plus de deux semaines, s'être reposées et avoir mangé du grain avec les autres anatidaea, les bernaches repartirent.
Quelle ne fut pas notre surprise dès lors de voir deux bernaches revenir à l’automne nanties de six oisons déjà volants.
Depuis chaque année le nombre s’accroît, les bernaches se déplacent d’un étang à l’autre mais manquent rarement leur rendez-vous du soir sur l’étang de la Fercelle depuis qu’il est en eau; des vols splendides, de plus de 40 oiseaux.
Le soir du 28 décembre, 3 bernaches du Canada (Branta canadensis) épuisées sont littéralement tombées dans l'un des étangs du Naturetum [http://www.naturetum.com], l’étang du Haut; initialement repoussées par les canards colverts (Anas platyrhynchos), elles ont été immédiatement protégées par nos oies blanches domestiques qui se sont interposées entre les canards agressifs et les trois visiteuses, sans cependant se permettre une proximité immédiate.
Après être restées plus de deux semaines, s'être reposées et avoir mangé du grain avec les autres anatidaea, les bernaches repartirent.
Quelle ne fut pas notre surprise dès lors de voir deux bernaches revenir à l’automne nanties de six oisons déjà volants.
Depuis chaque année le nombre s’accroît, les bernaches se déplacent d’un étang à l’autre mais manquent rarement leur rendez-vous du soir sur l’étang de la Fercelle depuis qu’il est en eau; des vols splendides, de plus de 40 oiseaux.
Par une belle journée de la fin de l'été 2011, nous avons compté 96 bernaches posées autour de l'étang du Haut!
La chasse de ces magnifiques oiseaux vient (2012) d'être autorisée en France. Lorsqu'elles volent, les oies "parlent" constamment entre elles, et il est donc facile de les localiser. Souhaitons par conséquent que des chasseurs conscients de la fragilité de l'environnement sachent prévenir un trop grand déclin de cette population.
